Dans les chroniques anciennes, il est mentionné un certain Balaciu "à tête noire" qui s'est battu comme un lion en Serbie a l’époque de Radu Negru et que les ballades serbes mentionnent; parce qu'ils étaient tous "fous de courage", dit le chroniqueur.

 

La référence à la "tête noire" de Balaciu est intéressante si nous la rapportons à l'histoire de Neagu Djuvara, qui dit que "les Roumains s'appellaient des cumans noirs", car nous appartenons à une branche de la population turque.

 

Selon la tradition orale, l'ascendant masculin le plus connu de la famille Bălăceanu est le Kneaz de Balaci († 1283), qui apparaît à l’époque suivante l'invasion tatare de 1241.

Il est décédé tragiquement. Il avait été chargé de diriger un convoi en Serbie et lors de cette expédition, il a été assassiné.

C'est l'un des premiers meurtres de l'histoire familiale, d'autres suivront.

 

Depuis lors, les domaines familiaux seraient restés au pays de Balaci du comté de Teleorman.

 

Un de ses descendants est Constantin de Balaci († 1395), chef des armées du voïvode Mircea l'Ancien décédé lors de la bataille de Rovine en 1395, ainsi que deux autres chefs - qui étaient apparemment ses frères.

 

Le souvenir de ces "trois" morts sur le champ de bataille sera conservé jusqu'à aujourd'hui dans l'héraldique des Bălăceni. Tous les blasons connus de la famille ont en commun les trois flèches - symbolisant les trois frères - avec la pointe vers le bas, signe de mort héroïque.

 

Ses descendants ne sont pas connus, mais dans les documents officiels de Patrascu Voda en 1544, ainsi que dans celui de Vlad Voda en 1532, sont mentionnés 5 frères qui vivaient sur les terres de Balaci.

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